Les blogs ont la particularité de permettre aux lecteurs de commenter les billets. Anonyme, il arrive que le commentaire sombre dans l'insulte, mais la plupart du temps il permet un échange entre le rédacteur et ceux ou celles qui le lisent. Vos "réponses" s'expriment plus souvent par des mails, voire un coup de fil, qu'en ajoutant vos remarques sous les billets que j'ai rédigés. Est-ce l'embarras de rendre publiques vos réactions ? D'éventuels pseudos peuvent vous rendre la tâche plus aisée ! Le système du mot de passe (pour éviter les spams) vous intimide-t-il ? C'est pourtant simple... Pensez juste à copier (pomme-C) votre apport avant de l'envoyer si vous craignez une fausse manœuvre, vous retrouverez ainsi facilement ce que vous avez écrit en cas de panne (ça nous est tous arrivé au moins une fois). Le récent échange de points de vue avec "Virginie" sur le billet Hécatombe publié mercredi est un excellent exemple de la vie du blog. D'autres commentaires m'ont offert de précieuses informations, ou j'ai pu retrouver des amis perdus de vue depuis longtemps... Le blog a des vertus de lien social qui me fait sortir de ma tanière. Son double sens est aussi précieux que le plaisir d'écrire chaque jour. Pourquoi écrire si ce n'est parce que l'on aime lire et recevoir soi-même des messages glissés dans une bouteille ?
Le logiciel du blog permet à son auteur de prendre connaissance des commentaires au fur et à mesure qu'ils arrivent quelle que soit l'ancienneté du billet indexé. En général, mes lecteurs se connectent directement à la page principale qui affiche les articles les plus récents, mais nombreuses visites proviennent de la googlisation de tel ou tel mot. On s'en rend compte en constatant le nombre de lectures noté sous chaque billet. Certains ont été lus des milliers de fois (merci Google !). Le "nombre de lectures" ne comptabilise pas les visites qui tournent actuellement autour de 300 par jour, soit 8000 par mois, mais il indique seulement les liens directs qui pointent vers un billet précis. Environ le quart sont des lecteurs fidèles.