Voilà. C'est passé. Vous m'avez copieusement et gentiment arrosé de vœux par téléphone, SMS, mail, réseaux sociaux.
Internet fait sortir du splendide isolement. Je dis pis que pendre de FaceBook, et avec raison, mais l'appli permet de se sentir moins seul, surtout lorsque l'on développe des idées que l'on pensait partager avec pas grand monde. FaceBook est moche, pas pratique, flicarde, sélective, brimante, mais j'y ai connu nombre de personnes dont les propos sont proches des miens ou qui m'ont ouvert les yeux sur différentes questions, sans parler des très précieuses informations professionnelles que l'on y glane. Depuis que je vous lis je suis un peu moins parano ! Tout dépend du type de réseau que l'on s'est constitué. Sur mon "mur" j'indique essentiellement les liens vers mon blog et n'accepte que les "amis" que je connais. Sinon j'envoie en message privé : "Qui êtes-vous ? Bonjour, avant d'accepter une demande d'amis, je pose cette question à tous ceux et à toutes celles que je ne connais pas, quand ma mémoire fait défaut ou que les informations de FaceBook ne me permettent pas de l'apprendre." C'est montré du tact, n'est-ce pas ?
Sur Google+ un nombre invraisemblable de jeunes femmes inconnues revendiquent chaque jour de suivre mes activités, me laissant extrêmement perplexe quant à leurs intentions qui m'apparaissent obscures ! Sur Twitter dont la brièveté des messages est peu adaptée à mon "style" je ne colle également qu'un lien accompagné de deux ou trois hashtags. Au vu du temps que me prennent les liens à ajouter dans mes articles je me demande si je vais continuer, sauf si véritable nécessité, vous laissant le soin de googliser les noms ou mots que vous ignorez.
Encore merci pour tous vos messages chaleureux qui m'ont touché !