Incroyable ! Après plus d'un an de tergiversations, Orange a fini par m'installer la fibre.
Si la connexion est techniquement ultra rapide, elle est encore très fragile, car je ne suis pas à l'abri d'un acte malveillant des trois sœurs foldingues qui habitent au fond de l'allée et attaquent mon mur régulièrement en prétendant être les propriétaires de l'allée privée sans n'avoir jamais évidemment produit aucune preuve, et pour cause. J'ai déjà évoqué ici ce conflit ridicule, mais hautement handicapant. Leur acte de propriété, comme tous ceux dont les murs ou les portes donnent sur l'impasse, ne spécifie aucune suzeraineté. Par contre la Mairie a confirmé ce qui apparaît sur le cadastre, à savoir que l'impasse n'existe pas juridiquement, puisqu'elle est constituée des fonds de parcelles. Si elles étaient propriétaires elles me devraient le droit d'échelle qu'elles me refusent manu militari. Par contre je leur dois le passage puisqu'elles passent sur mes terres pour rentrer chez elles. En attendant je suis bien ennuyé car elles m'interdisent abusivement de réparer mon mur qui s'abîme en attendant que la Justice fasse son boulot puisqu'il est impossible de discuter calmement avec elles sans essuyer une salve d'insultes, voire d'attaques physiques. Ma non-violence m'interdit évidemment de répondre à leur folie qui trouvera d'autres souffre-douleur lorsque les deux parcelles à vendre dans l'impasse seront attribuées à de nouveaux propriétaires qui ne manqueront pas de faire des travaux autrement plus importants que mon modeste passage de câble collé sur mon propre mur ou une journée de ravalement de la façade plein nord !
Comme si cela ne suffisait pas de courir après les fournisseurs d'accès à Internet qui se font eux-mêmes une gueguerre dont les usagers paient évidemment les pots cassés. Le sous-traitant Circet ayant installé la fibre Orange avec succès, j'ai aussitôt appelé Free qui depuis novembre refuse de réparer l'ADSL de ma FreeBox sous prétexte que je suis éligible à la fibre. Malgré une trentaine de coups de téléphone ils ne rappellent jamais. Je les ai donc mis en demeure de faire leur travail, faute de quoi je migrerai vers un autre opérateur. On aura compris que j'avais deux boîtes Internet, ce qui m'a permis de continuer à travailler... Ah que la vie pourrait être simple sans que forces obscures de la bêtise et de la méchanceté conjuguées s'exercent régulièrement !