Depuis un mois, j'ai porté mon blog sur Mediapart, mais si son miroir est identique dans sa recopie sur FaceBook j'ai préféré effectuer une sélection d'articles anciens et récents pour le site dirigé par Edwy Plenel. J'y place donc seulement les articles politiques ou critiques, en particulier mes comptes-rendus de livres, DVD ou CD, ne publiant qu'ici les choses personnelles qui, mélangées à l'ensemble, crée cette impression généraliste qui réfléchit plus fidèlement l'encyclopédiste amateur et le professionnel polymorphe. J'avais évidemment envie d'élargir le cercle de mes lecteurs/trices, notant au passage que les commentaires se font plus aisément sur FaceBook et Mediapart qu'ici-même. La ligne éditoriale de Mediapart étant essentiellement politique, mes billets culturels se sont retrouvés instantanément en une du Journal, du Club ou de la rubrique Culture et idées, à tel point qu'hier matin j'occupais ces trois pages avec mes trois derniers articles ! J'aimerais bien que Le Monde Diplomatique ait la même exigence dans ses pages culture que sur le reste de leur mensuel. L'orientation principale de Mediapart explique probablement l'intérêt de la rédaction pour ce que j'écris, puisque je me retrouve chaque jour sur l'une de leurs unes, flatté, comme on peut s'en douter. De plus, cette participation ne leur coûte rien, bien au contraire, puisque je profite de l'abonnement que Françoise a souscrit à raison de 9 euros par mois, somme que je conseille à tous les amateurs d'actualités brûlantes de dépenser sans hésiter, car il y a plus à y lire, voir et écouter que dans les quotidiens traditionnels de la presse papier à laquelle nous sommes également abonnés. Si vous désirez être parrainé(e), l'offre d'accueil est de 1€ le premier mois ou 19€ les 3 mois d'abonnement...
Mon blog le plus complet reste http://www.drame.org/blog puisque je ne publie sur Mediapart qu'une partie de mes récits quotidiens complétée par une sélection d'anciens, et qu'il est impossible de placer certains fichiers, comme les sons, sur FaceBook qui met, en outre, souvent plus de 24 heures pour recopier automatiquement ma prose kaléidoscopique.